Et si le bonheur était une composante du véritable professionnalisme ?
Osé, illusoire, utopique, débile, chimérique, aberrant… bref : extraterrestre, me direz-vous ! Et pourtant, laquelle ou lequel d’entre nous a envie de travailler avec un – ou « une », – malheureux introspectif, un dépressif chronique, un négatif ronchon, un triste communicatif, un critique qui n’en finit pas de comparer, un fâcheux poisseux, un cynique paranoïaque, un pénible à la minute, un qui-que-dès-qu’il-peut vous pourrit chacune de vos journées de travail ? Certes, la période n’est pas à l’optimisme niais. Certes ! Certes ! Mais enfin nous n’allons tout de même pas nous enterrer parce que l’époque va mal ! Cela étant, me direz-vous, le bonheur ne saurait se construire sur l’illusion ; il nécessite la lucidité !
Au sommaire de l’article publié sur www.portail-travail.ch (Source : Patrick Bouvard pour RHinfo, www.rhinfo.com) :
- Le problème de la fidélisation des salariés se pose de manière accrue.
- Les comportements socioprofessionnels sont en pleine phase d’évolution.
- Désenchantement des professionnels.
- Travailler avec bonheur…au bonheur.
Pour aller plus loin :